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MSCI ESG Leaders Indice
Chaque gérant de fortune, gestionnaire de portefeuille ou conseiller en investissement est actuellement confronté aux trois lettres magiques ESG. De nombreux clients souhaitent connaître l'impact de l'intégration des critères ESG sur leurs investissements.
Prévisions boursières multifactorielles : mise à jour septembre 2021
Ces dernières semaines et ces derniers mois, il s'est passé beaucoup de choses sur les marchés financiers. Les pays émergents, en particulier, ont été marqués par une forte volatilité. Il vaut donc la peine de jeter à nouveau un coup d'œil à notre modèle multi-facteurs pays/régions actions et à ses prévisions.
Véritable valeur ajoutée avec les actions suisses
Plus d'un siècle de preuves empiriques montrent que si les actions sont très volatiles à court terme, elles récompensent l'investisseur à long terme par un rendement supérieur à celui des obligations et des liquidités. Cette différence de rendement, appelée prime des actions, est la raison pour laquelle la plupart des investisseurs investissent dans un portefeuille d'actions diversifié.
Les obligations BBB : Résistantes - Populaires - (Sur)évaluées ?
Un regard sur l'évolution historique de la prime de risque de crédit des obligations d'entreprises européennes notées "investment grade" est instructif ...
Actions des marchés émergents en 2021
Les changements économiques, monétaires, de matières premières et de politique commerciale qui ont déterminé les tendances des marchés boursiers mondiaux depuis 2018 évoluent rapidement et devraient continuer à favoriser les marchés émergents par rapport aux marchés développés cette année.
Low Risk n'est pas No Risk
L'annonce début novembre que les premiers vaccins ont été testés et approuvés avec succès par les autorités sanitaires, combinée à d'autres grands paquets de mesures de stimulation, a déclenché une violente rotation sectorielle et stylistique sur les marchés.
La beauté est dans l'œil de l'observateur : les actions ont-elles une évaluation élevée ou basse?
Les marchés financiers reflètent les attentes des investisseurs pour l'avenir ; il n'est donc guère surprenant qu'ils aient été chaotiques en 2020. La recrudescence des actifs risqués dans un contexte économique fragile soulève la question de savoir si des bulles se sont formées sur certains actifs ou si les hausses et les baisses s'expliquent par des facteurs fondamentaux en rapide évolution.
Prévisions multifactorielles pour les marchés d'actions en 2021
Au début de l'année 2020, nous avons présenté pour la première fois notre modèle multi-facteurs pour les pays/régions et ses prévisions pour les marchés d'actions. La méthode factorielle classe les pays/régions en fonction de leur attractivité. Les critères utilisés sont le momentum des prix, la valorisation, la croissance des bénéfices et la qualité.
Risque Rallye en novembre
Le SPI a progressé de 8,41% en novembre, la meilleure performance de novembre depuis que l'indice est calculé et la performance mensuelle la plus élevée depuis la fin de la crise financière (juin 2009). Le SPI est ainsi resté à la traîne de l'indice MSCI Monde de 11,45% en francs suisses.
Obligations Zombie
Depuis quelques mois, sur les marchés des capitaux, les familiers Fallen Angels (voir à ce sujet notre blog du 12 nov.) sont supplantés par des zombies plus redoutables qui font la une des journaux. Les entreprises zombies se caractérisent par le fait qu'elles ne peuvent pas mourir.
Actions des marchés émergents (EMMA) ou Asia+ ?
Les sceptiques disent souvent que les investissements dans les pays émergents ne sont rien d'autre qu'une stratégie "Asie plus", étant donné que l'Asie représente 80% de l'indice. Comme trop souvent dans le discours financier médiatique, les opinions sont vite exprimées ; cela ne dit absolument rien sur la substance du contenu.
Opportunités avec les Fallen Angels sur le marché obligataire actuel
Pour beaucoup, la prise de conscience de l'ampleur et des caractéristiques de cette crise a été tardive. Le recul du chiffre d'affaires de nombreuses entreprises n'était pas de 10 % ou 20 % comme dans une récession normale, mais s'est littéralement effondré à 30 % ou, dans des cas extrêmes, à 0 % pendant le lockdown. Les marchés financiers ont réagi violemment.